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Désormais, en vous promenant dans les rues de Riva del Garda, vous pourrez rencontrer de sympathiques poissons à côté des grilles d’évacuation d’eau de pluie. Ils sont là pour vous rappeler que la santé du lac c’est aussi notre santé et qu’il faut en prendre soin.
En effet, chaque jour, à travers les grilles d’évacuation des eaux pluviales, nous polluons notre lac en jetant des mégots de cigarettes, des plastiques et autres déchets, peut-être sans savoir que chaque bouche d’évacuation de notre région est reliée, directement ou indirectement, aux eaux du lac.
« Le lac commence ici » est une campagne conçue et promue par l’AGS et la municipalité de Riva del Garda pour sensibiliser toutes les générations à la protection des eaux du lac et inviter les citoyens à se comporter de manière plus attentive et respectueuse.
Le 22 mars est la Journée mondiale de l’eau (World Water Day) et la campagne « Le lac commence ici » a été délibérément lancée ce jour-là pour reprendre le thème abordé cette année : « Les eaux souterraines, rendre visible l’invisible ».
Au cœur du projet il y a la volonté d’inciter les gens à regarder au-delà des apparences, et de démentir la croyance erronée selon laquelle les bouches d’évacuation d’eaux pluviales seraient reliées aux égouts ou aux stations d’épuration. Notre but est et de faire comprendre à la population que tout ce que nous jetons à travers les avaloirs finit par polluer le lac.
Pour rendre ce message immédiat, la campagne « Le lac commence ici » mise sur la créativité, en proposant des graphismes métaphoriques destinés à faire comprendre qu’au fond d’un canal d’évacuation des eaux pluviales, il y a plus que ce que vous imaginez.
L’inauguration du projet a été marquée par la pose de la première plaque métallique près d’un avaloir dans le centre historique. Au cours des semaines suivantes, des dizaines d’autres plaques ont été installées dans les zones les plus fréquentées de Riva del Garda.
Les eaux utilisées pour le nettoyage des maisons, des magasins et des étals contiennent des produits détergents et d’autres substances à base de produits chimiques et pour cette raison, elles ne doivent en aucun cas être rejetées dans les bouches d’évacuation des eaux pluviales. Leur destination finale doit être une canalisation reliée au tout à l’égout (par exemple WC) puis à la station d’épuration des eaux usées.
Les mégots de cigarettes ne sont pas biodégradables et contiennent environ 400 substances qui polluent les eaux du lac et nuisent à la faune qui y vit ; ils ne doivent donc pas être jetés dans les bouches d’évacuation des eaux pluviales. Leur destination finale devrait être la poubelle.
L’eau utilisée pour le lavage des engins de chantier doit être décantée sur place et les résidus doivent être éliminés. Il est important de ne pas rejeter cette eau à travers les grilles d’eaux pluviales, car les résidus de mortiers de ciment finissent dans le lac et altèrent l’écosystème. Ils réduisent en outre la section transversale des canalisations qui deviennent alors insuffisantes pour évacuer les eaux de pluie, surtout en période de fortes pluies.
Les restes d’emballages, en particulier ceux en plastique, libèrent des substances chimiques nocives qui polluent les sols, les eaux souterraines, les eaux des lacs et nuisent à la faune qui y vit. Leur destination finale doit être la collecte sélective et non les bouches d’évacuation des eaux pluviales.
Les peintures, les vernis, les diluants, etc. ne doivent pas être jetés dans les canalisations d’eaux pluviales car ils sont polluants. Leur destination finale doit être un centre de collecte pour le recyclage (C.R.M).
Le lavage des véhicules (voitures, motos, vélos etc.) ne doit pas être effectué dans l’arrière-cour, car les eaux usées peuvent capter des particules d’huiles mécaniques qui atteindraient la nappe phréatique ou se déverseraient dans le lac à travers les bouches d’évacuations des eaux pluviales. Le comportement correct est de se rendre à un centre de lavage agréé équipé de systèmes de purification qui filtrent les parties polluantes.
Les résidus de balayage des déchets collectés le long des trottoirs, routes, cours, etc., de quelque nature que ce soit (feuilles, résidus de terre, chewing-gum, plastiques, etc.) ne doivent pas être jetés dans les bouches d’évacuations des eaux pluviales, car ils s’accumulent dans le puit et obstruent la sortie des canalisations, ce qui provoque des problèmes d’évacuation, notamment en période de fortes pluies.
Les mégots de cigarettes ne sont pas biodégradables et contiennent environ 400 substances qui polluent les eaux du lac et nuisent à la faune qui y vit ; ils ne doivent donc pas être jetés dans les bouches d’évacuation des eaux pluviales. Leur destination finale devrait être la poubelle.
Les eaux utilisées pour le nettoyage des maisons, des magasins et des étals contiennent des produits détergents et d’autres substances à base de produits chimiques et pour cette raison, elles ne doivent en aucun cas être rejetées dans les bouches d’évacuation des eaux pluviales. Leur destination finale doit être une canalisation reliée au tout à l’égout (par exemple WC) puis à la station d’épuration des eaux usées.
Les restes d’emballages, en particulier ceux en plastique, libèrent des substances chimiques nocives qui polluent les sols, les eaux souterraines, les eaux des lacs et nuisent à la faune qui y vit. Leur destination finale doit être la collecte sélective et non les bouches d’évacuation des eaux pluviales.
L’eau utilisée pour le lavage des engins de chantier doit être décantée sur place et les résidus doivent être éliminés. Il est important de ne pas rejeter cette eau à travers les grilles d’eaux pluviales, car les résidus de mortiers de ciment finissent dans le lac et altèrent l’écosystème. Ils réduisent en outre la section transversale des canalisations qui deviennent alors insuffisantes pour évacuer les eaux de pluie, surtout en période de fortes pluies.
Le lavage des véhicules (voitures, motos, vélos etc.) ne doit pas être effectué dans l’arrière-cour, car les eaux usées peuvent capter des particules d’huiles mécaniques qui atteindraient la nappe phréatique ou se déverseraient dans le lac à travers les bouches d’évacuations des eaux pluviales. Le comportement correct est de se rendre à un centre de lavage agréé équipé de systèmes de purification qui filtrent les parties polluantes.
Les peintures, les vernis, les diluants, etc. ne doivent pas être jetés dans les canalisations d’eaux pluviales car ils sont polluants. Leur destination finale doit être un centre de collecte pour le recyclage (C.R.M).
Les résidus de balayage des déchets collectés le long des trottoirs, routes, cours, etc., de quelque nature que ce soit (feuilles, résidus de terre, chewing-gum, plastiques, etc.) ne doivent pas être jetés dans les bouches d’évacuations des eaux pluviales, car ils s’accumulent dans le puit et obstruent la sortie des canalisations, ce qui provoque des problèmes d’évacuation, notamment en période de fortes pluies.
Le 8 février 2022, la protection de l’environnement, de la biodiversité et des écosystèmes est entrée dans la Constitution italienne, modifiant l’art. 9, l’un des fondements de notre République, et l’art. 41.
Article 9
La République promeut le développement de la culture et de la recherche scientifique et technique.
Il protège le paysage et le patrimoine historique et artistique de la nation. Elle protège l’environnement, la biodiversité et les écosystèmes, également dans l’intérêt des générations futures. La loi de l’État réglemente les méthodes et les formes de protection des animaux.
Article 41
L’initiative économique privée est libre.
Elle ne peut avoir lieu en conflit avec l’utilité sociale ou d’une manière qui pourrait porter atteinte à la sécurité, à la liberté, à la dignité humaine, à la santé, à l’environnement.
La loi détermine les programmes et les contrôles appropriés pour que l’activité économique publique et privée puisse être dirigée et coordonnée à des fins sociales et environnementales.
Enfin, les modifications introduites par le projet de loi constitutionnelle approuvé établissent une clause de sauvegarde pour l’application du principe de protection des animaux dans les statuts particuliers des régions de Sardaigne, de Sicile et du Val d’Aoste et des provinces de Trentin-Haut-Adige et Frioul Vénétie Julienne.
Parmi les initiatives prévues pour la promotion de la protection de l’environnement et la campagne « le lac commence ici », le groupe Alto Garda Servizi rouvre au public le réservoir « Riva », l’une des usines où la distribution d’eau publique à Riva de Garde.
La première date prévue est fixée au samedi 26 mars 2022
Pour des raisons d’organisation, les réservations sont conseillées avant le 15/03/2013 en appelant le numéro. 0464/553565.
Les visiteurs sont invités à laisser leur voiture dans le nouveau parking attenant au terrain de football de Varonese, en effet, il est interdit de se garer à proximité du réservoir.
En 2019, l’Union des pêcheurs sportifs de Garda a lancé un projet visant à repeupler « Alborella » dans les eaux de Garda. L’ »Alborella » est un poisson d’eau douce qui était très présent dans nos eaux jusque dans les années 1990, alors qu’aujourd’hui il est proche de l’extinction. Le projet est également actif sur le territoire de la municipalité de Riva del Garda dans la zone protégée de Val di Gola.
Le terme microplastique fait référence aux petites particules de plastique qui polluent les ruisseaux, les rivières, les lacs, les mers et les océans. On les appelle ainsi car ce sont précisément des micro-fragments de plastique (dimensions comprises entre 0,33 et 5 mm) qui causent divers dommages aux écosystèmes.
Le plastique se dégrade très lentement, se transformant en particules microscopiques qui sont facilement ingérées par les poissons et autres organismes aquatiques, et à travers la chaîne alimentaire jusqu’aux humains.
La municipalité de Riva del Garda a rejoint en 2021 la campagne « Seabin » promue par Coop pour l’environnement en partenariat avec « LifeGate », avec l’installation d’une poubelle flottante qui collecte les déchets. Les étudiants du « Liceo A. Maffei » de Riva ont été impliqués dans le projet, qui collecte les données des plastiques collectés.